Les femmes sont le moteur de ce qui reste du tissu économique congolais.
Les articles de Roel Wouters ont pour toile de fond ce questionnement: comment peut-on mourir de faim dans un pays aussi fertile?
L'article intitulé Avoir faim dans un pays de cocagne pointe du doigt les conséquences désastreuses des importations des denrées alimentaires subventionnées en provenance de l'Union européenne sur la production locale. La nourriture importée quoique de qualité moindre coûte moins cher et remporte donc un énorme succès.
Dans le roman Les Mystères de Kinshasa j'ai abordé la question de l'apport des femmes dans la survie des Kinois. Ce sont les femmes qui permettent aux familles de s'en sortir. Je pense que c'est d'elles que viendra le salut.
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